Quand le poète s’assoit sous la nuit étoilée,
Les etoiles forment des constellations d’anges,
Grand créatures céleste plein de vie et d’amour,
Qui errent insouciamment au-delà des nuages.
Ces créatures errent comme des enfants dans les rues.
Ils se lancent au-dessus des nuages comme des pigeons sur le vent,
Tout en Chantant comme des oiseux pencher sur un arbre
Et ils sourissent comme des bonhommes de neige.
A peine le poète commence-t-il à muser sur sa vie amère,
Qu’il se plonge dans les profondes ténèbres de l’existence humaine.
Il se met à frissonner comme si frapper par un grand bise,
Ou comme une passerine effrayer par un épouvantail.
Les anges, attristés par les larmes du poète, descendent sur terre.
Ils encerclent le poète, lui couvrent avec leurs ailes comme un bébé.
Et Soudainement le froid qui froisse le cœur du poète se dissipe.